Mea culpa : Je suis désolé, mais Je ni la solution miracle, ni réponse à tout.
Chaque problème a sa solution. L’agilité me propose une boite à outils
Il faut voir l’agilité comme un méta-process outillé, il n’y a pas une solution toute faite, mais une liste de pratiques pouvant servir à corriger un ou l’autre des problèmes.
En bon mécano des projets, j’utilise la clé à molette, des écrous et des boulons, voire quelque fois même le marteau et la faucille (Social events).
Oui, je peux changer d’avis : Une solution est bonne à un moment donné, ne l’est peut être plus 2 semaines plus tard. Le contexte a pu changer, une autre solution existe ou même la première solution doit être adaptée.
L’agilité a été élaborée à partir d’expériences, dans d’autres contextes. Cela nous donne un canevas, un guide et chaque pratique peut être présentée comme une solution. En tant que coach Agile, j’aide l’équipe à découvrir ses problèmes, identifier quelles pratiques peuvent servir à les résoudre. Mais c’est à l’équipe de les adapter à son contexte propre. Les cycles courts (sprints) permettent de prendre la solution tel quel, de l’appréhender, puis de l’adapter.
Agile embarque un mécanisme d’auto-critique. Il ne faut pas voir Agile comme un dogme. Il faut aussi le remettre en question, et c’est, entre autre, bien l’intérêt de la rétrospective.
Je rejoins le discours de Thierry sur la stewardsheap, et le « manager con »
Je ne suis pas Super Consultant.
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